Venez donner votre avis !

Les faux médicaments sont partout, les sites, virtuels ou non, d'accès aux médicaments de mauvaise qualité sont pléthores. Aujourd'hui, chacun peut acheter un remède sur internet (même si cela est totalement interdit dans des pays comme la France) et ce quelque soit sont origine. De même, toute sorte de pilules et autres gélules se trouvent en vente sur les marchés ou dans les pharmacies des pays d'Afrique. Une réalité intolérable !

L'OMM, Observatoire Mondial du Médicament, se présente pour oeuvrer contre cette réalité.

Dans ce blog, nous vous invitons à réfléchir à ce problème qui nous touche tous d'une manière ou d'une autre.
Alors réagissez, donnez-nous votre avis, soutenez-nous dans nos recherches, orientez-nous vers des situations dont vous avez été témoins et qui ne sont pas relayées ....

jeudi 21 juillet 2011

Mediator : pourquoi les médecins finiront par payer...

Le Figaro vient de mettre le feu aux poudres dans l'affaire du Mediator en révélant que l'Office national d'indemnisation des accidents médicaux (Oniam), qui gère le fonds d'indemnisation des victimes du Mediator, a décidé de se retourner contre les médecins dans le cadre de référés expertise prévus pour les 8 et 13 septembre prochain. L'ONIAM a aussitôt démenti cette affirmation :
"Les praticiens peuvent être sollicités dans le cadre de procédures judiciaires de référés civils faites à la demande des patients et ce, visant uniquement à diligenter des expertises permettant d'éclairer les situations, précise l'Oniam. L'objectif d'une expertise est de permettre un débat contradictoire, souligne l'Oniam. Pour les praticiens, c'est notamment l'occasion d'indiquer leur point de vue, y compris sur les conditions dans lesquelles ils ont été informés par le laboratoire sur ce produit, ajoute cet organisme."

Lire la suite de l'article sur Agoravox

mardi 19 juillet 2011

Cannes : la contrefaçon a trouvé son eldorado !

C’est un « fléau ». Point barre. Le président du Comité national anti-contrefaçon (Cnac) – qui n’est autre que le député-maire de Cannes, Bernard Brochand – parle du problème comme d’une épidémie mondiale. Question de sûreté et de santé qui justifie le lancement, chaque année, d’une campagne sur les conséquences de la contrefaçon. L’opération se veut « grand public » avec un slogan efficace :
« Contrefaçon ? Du tac au tac, dites non au toc ! »

Un million de faux acheté en ligne

Particulièrement concernée, la Côte d’Azur sera le point de mire de cette campagne jusqu’au 13 août. Quelque 150 000 tracts et cartes postales seront distribués aux touristes des villes les plus touchées : Saint-Tropez, Ramatuelle, Cannes, Nice, Antibes, Juan-les-Pins, Cassis, Bandol, Marseille…
« Seul le consommateur a le pouvoir de stopper le phénomène, insiste le président du Cnac, dès lors qu’il prend conscience qu’il se met lui-même en danger. Pas seulement en matière d’arnaque, mais surtout de santé ».

Lire l'article intégral sur Nice Matin

mercredi 13 juillet 2011

Interpol se mobilise contre les faux médicaments

On estime que 30% des médicaments qui sont vendus en Afrique sont des faux. C'est pourquoi, à Lomé, une centaine de policiers du Burkina-Faso, du Ghana, du Sénégal, du Cameroun, du Nigéria et du Togo, tous membres d’Interpol se sont réunis pour évoquer l’explosion du trafic et du commerce de médicaments contrefaits en Afrique de l’Ouest. « La criminalité pharmaceutique a atteint des niveaux très inquiétants. Les réseaux criminels sont très structurés et rivalisent avec les trafiquants de drogue et d’armes », a souligné le colonel Gnama Latta, ministre de la Sécurité. « C’est un scandale moral et un défi pour les acteurs du développement », a ajouté M. Latta. En novembre dernier, 22 tonnes de produits pharmaceutiques contrefais avaient été détruits par les douanes togolaises, soit 250.000 cartons contenant, notamment, des anti-inflammatoires, du paracétamol et de l'eau glucosée. Les contrefaçons, que l’on trouve sur les marchés et dans certaines pharmacies du Togo, sont parfaites; même emballage, même logo. Seul le contenu diffère de l'original. Les comprimés sont la plupart du temps inopérants en raison de leur composition et donc dangereux pour la santé.

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lundi 11 juillet 2011

Vente illicite de médicaments : Le gouvernement décidé à enrayer le trafic

Lors de la cérémonie d’ouverture du 12ème Forum pharmaceutique international, le Premier ministre Souleymane Ndéné Ndiaye a réaffirmé la volonté du gouvernement du Sénégal de poursuivre la lutte contre la vente illicite de médicaments et la contrefaçon. En effet, il n’entend pas accorder une parcelle d’activité aux personnes qui s’adonnent à la vente illicite de médicaments et à la contrefaçon. «Je tiens à réaffirmer la ferme volonté du gouvernement à poursuivre la lutte contre la vente illicite des médicaments et la contrefaçon», a-t-il laissé entendre. 

Médicaments en ligne : ne pas confondre publicité et information !

La Cour de Justice de l'Union européenne a rendu le 5 mai dernier un arrêt apportant des éclaircissements bienvenus dans la perspective d'une éventuelle réglementation de la vente en ligne de médicaments en France. La Cour vient en effet préciser ce qui relève ou non de la publicité interdite à l'égard des médicaments soumis à prescription et ce qui relève par contre de l'information.

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mardi 5 juillet 2011

Le patron pirate Pavel Vrublevsky arrêté

Connu pour être le co-fondateur du programme RX dédié à de fausses pharmacies en ligne, Pavel Vrublevsky a enfin été arrêté. À 32 ans, ce jeune russe, co-fondateur, avec Igor Gusev, de la société de paiement en ligne ChronoPay est surtout connu pour être derrière de nombreux faux sites Internet dédiés à la vente de médicaments (Rx-promotion), et plus précisément dans la gestion des paiements en ligne, par cartes bancaires, des dites officines pirates.

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jeudi 30 juin 2011

Retrait programmé du Noctran 10 mg

L’AFSSAPS a décidé de retirer l’autorisation de mise sur le marché de la spécialité Noctran (chlorazépate dipotassique, acépromazine, acéprométazine) indiquée dans le traitement des insomnies occasionnelles ou transitoires. Cette mesure sera effective à partir du 27 octobre 2011. L’examen des données d’efficacité et de sécurité de ce médicament a permis de conclure que le rapport bénéfice/risque du médicament est désormais défavorable. Les professionnels de santé ne doivent ainsi plus instaurer de nouveau traitement par Noctran.

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