Venez donner votre avis !

Les faux médicaments sont partout, les sites, virtuels ou non, d'accès aux médicaments de mauvaise qualité sont pléthores. Aujourd'hui, chacun peut acheter un remède sur internet (même si cela est totalement interdit dans des pays comme la France) et ce quelque soit sont origine. De même, toute sorte de pilules et autres gélules se trouvent en vente sur les marchés ou dans les pharmacies des pays d'Afrique. Une réalité intolérable !

L'OMM, Observatoire Mondial du Médicament, se présente pour oeuvrer contre cette réalité.

Dans ce blog, nous vous invitons à réfléchir à ce problème qui nous touche tous d'une manière ou d'une autre.
Alors réagissez, donnez-nous votre avis, soutenez-nous dans nos recherches, orientez-nous vers des situations dont vous avez été témoins et qui ne sont pas relayées ....

mardi 31 mai 2011

L'Union européenne renforce sa législation contre les médicaments falsifiés

À Bruxelles, l'Union européenne a décidé de renforcer sa législation pour lutter contre les médicaments falsifiés ou contrefaits. Pour rappel : un fléau qui toucherait 1% à 3% des remèdes utilisés en Europe. L'enjeu ? Lutter plus efficamment contre les tueurs silencieux que constituent les faux médicaments. Depuis 2005, les saisies de médicaments contrefaits dans l'Union ont été multipliées par cinq, et ce marché représente 45 milliards d'euros de profits par an pour les réseaux criminels, rappelait en février au cours du débat au Parlement, l'eurodéputée portugaise Marisa Matias.

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mercredi 25 mai 2011

Médicaments de contrefaçon : des proportions alarmantes.

Selon les conclusions de l'Organisation des Nations unies contre la drogue et le crime (UNODC), avec une valeur estimée à 1,6 milliard de dollars (USD) pour les seuls continents asiatique et africain, l'industrie des médicaments de contrefaçon est devenue non seulement l'un des principaux problèmes sanitaires dans le monde, mais aussi un secteur à forte croissance pour le crime organisé.

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mardi 24 mai 2011

Burundi : stop au trafic de médicaments illicites !

Sept cadres et agents du ministère de la Santé publique, du ministère des Finances et d’une pharmacie privée du Burundi sont détenus depuis près d’un mois à la prison centrale de Mpimba. La justice présume qu’ils sont impliqués dans la vente de médicaments périmés. Ceux-ci ont fait des victimes, notamment en commune de Nyabikere de la province de Karuzi, au Centre-Est du pays. L’ex-médecin provincial de Karuzi, ainsi que le gestionnaire du district sanitaire de Nyabikere figurent parmi les détenus.

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jeudi 19 mai 2011

RD CONGO : des médicaments inefficaces face au paludisme et à la typhoïde

À Uvira, au Sud-Kivu, de nombreux malades atteints de paludisme ou de typhoïde ne guérissent pas malgré les traitements prescrits. Et pour cause : il s’agit souvent de farine de manioc bien comprimée et sans principe actif ! Ainsi victimes de médicaments contrefaits inefficaces et difficiles à déceler, les malades ont bien du mal à s’en sortir…
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mercredi 18 mai 2011

La contrefaçon de médicaments, une aubaine pour le crime organisé

Le directeur de l'Organisation des Nations unies contre la drogue et le crime (UNODC) Youri Fedotov, a dernièrement mis en garde contre le fléau grandissant de la contrefaçon dans le secteur pharmaceutique.
En effet, selon lui, "les médicaments frauduleux offrent aux groupes criminels organisés un fort rendement avec des risques relativement faibles, au final au détriment de la santé de personnes qui ne se doutent de rien".  De ce fait, les médicaments contrefaits mettent un nombre croissant de vies en danger.

Avec une valeur estimée à presque 1,1 milliard d'euros, rien qu'en Afrique et Asie, l'industrie des médicaments de contrefaçon, dangereuse et souvent mortelle, est devenue non seulement l'un des principaux problèmes sanitaires mondiaux, mais aussi un secteur à forte croissance pour le crime organisé, observe l'UNODC, dont le siège est à Vienne. Selon l'Organisation mondiale de la santé (OMS), trois produits pharmaceutiques sur 10 en Afrique, Asie et Amérique latine sont contrefaits.

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mardi 17 mai 2011

Un clip contre les faux médicaments

Le ministère des Affaires étrangères et européennes et la fondation Chirac présentent Pharmacide, un clip d’alerte sur les dangers de la consommation de médicaments commandés par Internet. 

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Le Mediator a été commercialisé par le laboratoire Servier de 1976 à 2009.

Gestionnaire du fond d'indemnisation public du Mediator, c'est l'ONIAM (Office national d'indemnisation des accidents médicaux) qui va déterminer les responsabilités quant à savoir, qui devra indemniser les victimes. L'État mettra «systématiquement» en cause le laboratoire Servier, qui a commercialisé en France le Mediator de 1976 à 2009, mais la loi n'empêche pas Servier et/ou les victimes de se retourner contre les prescripteurs. Une fois le ou les «payeur(s)» désigné(s), et au cas où celui-ci ne ferait pas d'offre à la victime, cette dernière pourra se tourner vers l'Oniam. Dans ce cas, l'Office sera amené à intervenir en substitution. L'Oniam devra alors payer avant que le juge tranche. Une pénalité de 30% sera demandée au payeur.


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mardi 10 mai 2011

63% des français ont déclaré ne plus vouloir croire les autorités sanitaires


Un sondage TNS-Sofres révèle que l'affaire du Médiator a ébranlée la confiance des français vis à vis des médicaments. En effet, réalisée pour le compte de la Mutualité française et dévoilée par Ouest-France, cette enquête a révèlé que 77% des sondés estiment que l'affaire du Mediator illustre une « défaillance généralisée » de notre système de surveillance des médicaments. Ainsi, 63% des français ont déclaré ne plus vouloir croire les autorités sanitaires… 

lundi 9 mai 2011

MEDIATOR : Bernard Debré balance les responsables et dédouane les médecins

Le professeur Bernard Debré règle ses comptes et nous donne ceux qu’il considère comme les responsables du scandale du Mediator. Qui est responsable ? « Vous voyez, j’ai fait un rapport avec Philippe Even, sur la façon dont on devrait présenter maintenant les médicaments et les mettre sur le marché. J’ai reçu une lettre absolument merveilleuse, de Pierre Godeau, qui est membre de l’Académie Nationale de médecine ».

jeudi 5 mai 2011

MEDIATOR : 1,2 milliards pour la SECU

Selon des informations révélées par Le Figaro, la commercialisation du Médiator durant 33 ans (entre 1976 et 2009) aurait coûté au moins 1,2 milliard d’euros à la Sécurité Sociale. Le seul remboursement des boîtes de ce médicament représenterait 879 millions d'euros, selon un document confidentiel de la Caisse nationale d'assurance-maladie (Cnam) que le quotidien s'est procuré. À cette somme, il faut ajouter le coût des prises en charge liées aux complications consécutives à la prise du Mediator, soit, selon l’estimation de la Cnam, 315 millions d’euros. Une intervention chirurgicale cardiaque déjà subit par près de 1.750 patients. Le quotidien indique que ces estimations ne prennent pas en compte les coûts liés aux arrêts de travail et aux invalidités. L’addition pourrait donc encore s’alourdir.

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LUBUMBASHI : le gouvernement provincial relance sa lutte contre les faux médicaments

Au Katanga, Le gouvernement provincial a décidé de relancer la lutte contre les faux pharmaciens et les charlatans qui vendent des médicaments non contrôlés et sans indications.  Et cette fois-ci, le ministre provincial de la Santé  Ilunga Ndjoloko, l'a annoncé : la lutte sera sans merci et des poursuites judiciaires seront engagées contre tous ceux qui s’adonnent à la vente de faux médicaments.

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