Venez donner votre avis !

Les faux médicaments sont partout, les sites, virtuels ou non, d'accès aux médicaments de mauvaise qualité sont pléthores. Aujourd'hui, chacun peut acheter un remède sur internet (même si cela est totalement interdit dans des pays comme la France) et ce quelque soit sont origine. De même, toute sorte de pilules et autres gélules se trouvent en vente sur les marchés ou dans les pharmacies des pays d'Afrique. Une réalité intolérable !

L'OMM, Observatoire Mondial du Médicament, se présente pour oeuvrer contre cette réalité.

Dans ce blog, nous vous invitons à réfléchir à ce problème qui nous touche tous d'une manière ou d'une autre.
Alors réagissez, donnez-nous votre avis, soutenez-nous dans nos recherches, orientez-nous vers des situations dont vous avez été témoins et qui ne sont pas relayées ....

mardi 14 juin 2011

Former des pharmaciens à la lutte contre la contrefaçon

Estimé aujourd’hui à 50 milliards d’euros, le chiffre d’affaires mondial du trafic du faux médicament représente 60 % des produits vendus sur le millier de sites internet spécialisés. Des pays entiers, notamment en Afrique, voient leur circuit officiel de distribution envahi (jusqu’à 20 %) par les médicaments contrefaits. Les facultés de pharmacie ne peuvent rester indifférentes face à ce phénomène et vont devoir adapter leurs enseignements pour que les étudiants puissent distinguer un faux médicament d’un vrai. RÉUNI à la fondation Mérieux, à Annecy, le colloque consacré au faux médicament dans le cadre de la 10° Conférence du CIDPHARMEF (« le Quotidien » du 6 juin), était conjointement organisé par la Fondation Chirac, principale institution française spécialisée dans ce domaine, les responsables de l’association des doyens des facultés francophones et la Centrale humanitaire médico-pharmaceutique (Clermont-Ferrand), qui fournit en médicaments génériques essentiels les centrales d’achat des pays du Sud et quelque 500 ONG. Il a permis à des acteurs qui se connaissent mal - enseignants et doyens de facultés de pharmacie, spécialistes de la pharmacovigilance, du contrôle qualité, douaniers, policiers, praticiens de l’aide humanitaire…- de mesurer l’ampleur du phénomène et ses conséquences sanitaires terribles, encore mal évaluées, et de confronter leurs points de vue.

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